Le sac est composé
de matériel résistant mais léger
Les bretelles ont
idéalement 2 pouces de large, elles sont rembourrées et ajustables
Des ceintures sont
prévues à la hauteur des hanches et du torse
Le derrière du sac
est rembourré pour un meilleur confort
Plusieurs pochettes
et compartiments facilitent la répartition du poids du sac
Le dessus du sac ne
doit pas dépasser le haut des épaules de l’enfant
Le fond du sac ne
doit pas être plus bas que les hanches (non appuyé sur les fesses)
C’est la grandeur
de l’enfant qui détermine en grande partie le choix d’un sac. Il est donc
essentiel qu’il soit présent lors de l’achat du sac à dos.
Comment le remplir ?
Assurez-vous que le sac à dos ne contient que ce
dont l’enfant a besoin pour la journée et que le poids y est distribué
uniformément. Le poids total d’un sac rempli ne devrait pas dépasser 10% du
poids de l’enfant qui fréquente l’école primaire, 15% pour les élèves du
secondaire. Mettez les objets les plus lourds près du corps, et placez ceux qui
sont volumineux, pointus ou de formes irrégulières vers l’extérieur, loin du
dos.
Comment l’enfiler?
Il faut éviter d’enfiler une bretelle puis de
donner un élan au sac pour mettre la seconde. Il faut plutôt déposer le sac sur
une surface plate, à la hauteur de la taille, puis enfiler une bretelle à la
fois. Ensuite, ajustez les bretelles pour qu’elles soient confortables. S’il a
du se pencher, l’enfant doit utiliser la force de ses jambes et se relever en
dépliant les genoux pour soulever son sac.
Comment le porter ?
Les deux bretelles pour les épaules doivent être enfilées et ajustées afin que le sac épouse confortablement le corps et ce, sans se balancer sur les côtés. Il ne doit pas être trop serré autour et sous les bras. Vous devriez pouvoir glisser votre main entre le sac et le dos de votre enfant. La ceinture de taille, et de torse si le sac en est muni, doivent aussi être attachées afin d’augmenter la stabilité du sac sur le dos.
Clinique Chiropratique des Allumettières
470 chemin Vanier, local 217, Gatineau, Québec, J9J 3J1
Il est bien connu que le corps humain récupère durant la nuit. En effet, une nuit de sommeil adéquate (environ 6 à 8 heures) est nécessaire pour le maintien d’une bonne santé. Voici divers conseils pour passer une belle nuit de sommeil :
Évitez de consommer des aliments, de l’alcool, des stimulants (café, thé, chocolat, etc) ou trop d’eau le soir, avant d’aller vous couchez.
Ayez une routine : faites toujours la même chose avant d’aller vous couchez, ayez une heure pour vous couchez et une autre pour vous levez. Faites de même le weekend.
Assurez vous que la pièce n’est ni trop chaude ni trop froide, et que la pièce est sombre. Évirez d’aller vous coucher si vous n’êtes pas fatigué.
Faites de l’exercices régulièrement (30 minutes, 3 fois/semaine)
Évitez de lire dans le lit. Évitez également les écrans dans la dernière heure avant le coucher. Si vous faites de l’insomnie, levez vous et aller faire d’autre chose (lecture, tisane, méditation) avant d’aller vous recoucher.
Certains suppléments tels que le magnésium, la valériane et la mélatonine peuvent aider, discutez-en avec votre chiropraticien et/ou votre pharmacien!
Des siestes de 20-30 minutes durant la journée peuvent vous aider à récupérer si vous vous levez encore avec de la fatigue.
Afin d’avoir une bonne qualité de sommeil, il est important d’adopter une bonne posture de sommeil, notamment afin d’éviter les raideurs musculaires au réveil ainsi que divers troubles articulaires. Bien sûr, il faut commencer par avoir un matelas adéquat, ni trop mou, ni trop dur. On aura tendance à favoriser les matelas plus durs lorsqu’on est plus jeune, et plus mou lorsqu’on vieillit davantage. De plus, la durée de vie moyenne d’un matelas est d’environ 10 ans. Pour ce qui est de l’oreiller, elle ne doit pas avoir plus de 5 ans. Nous conseillons à la clinique des oreillers orthopédiques, qui épousent bien la forme de votre cou. Pour ce qui est du reste, voici la procédure à suivre…
Voici un exemple de posture de sommeil adéquate
Sur le côté : On suggère un oreiller orthopédique d’une largeur égale à la distance entre le côté de la tête et la pointe de l’épaule (une fois comprimée). On recommande également de mettre un autre oreiller entre les deux genoux (environ la largeur d’un poing) afin d’empêcher la torsion du bassin et de la région lombaire. Une légère position foetale est idéale afin de diminuer la tension musculaire. Aussi, ne pas mettre les bras en dessous de l’oreiller afin d’éviter tendinite et/ou engourdissements durant la nuit. Je suggère d’éviter cette posture si vous avez des douleurs à la hanche et à l’épaule, particulièrement du côté atteint.
Sur le dos : On suggère un oreiller orthopédique de moindre hauteur, qui ne propulse pas le cou vers l’avant. Mettre également un oreiller en dessous des genoux, de façon à diminuer la tension dans le bas du dos (aplatit légèrement la courbe du bas du dos). Si vous avez des tensions dans le bas du dos, vous pouvez ramener vos deux jambes vers vous et garder la position 30 secondes avant de vous coucher, afin de relâcher les muscles de vos bas du dos. Il n’est pas recommandé de dormir avec les bras au dessus de la tête, sinon vous risquez de développer également des tensions aux épaules et/ou des engourdissements. La posture sur le dos favorise toutefois le ronflement.
À ÉVITER : La position sur le
ventre, qui entraîne une augmentation de la courbure et des tensions dans le
bas du dos (hyperlordose), une torsion de la région cervicale et dorsale,
responsable la plupart du temps, de multiples restrictions au niveau
articulaire. Si vous avez mal au cou, au bas du dos ou que vous avez beaucoup
de maux de tête/migraines, il est essentiel que vous limitez le temps passer à
dormir sur votre ventre. Je vous conseille donc de dormir sur le côté avec la
méthode indiquée plus haut et de rajouter un coussin que vous allez serrez
entre vos bras et votre thorax. Ainsi, si jamais vous vous retournez par
habitude durant la nuit, vous serez donc à 45 degrés et il n’y aura pas autant
de torsion, donc ce sera moins dommageable pour votre colonne vertébrale.
Vous avez des questions ? N’hésitez pas à communiquer avec nous, nous vous aiderons à profiter d’une nuit de sommeil réparatrice. N’oubliez pas qu’une bonne posture de sommeil est synonyme d’une bonne hygiène vertébrale.
Bonne nuit!
Clinique Chiropratique des Allumettières
470 chemin Vanier, local 217, Gatineau, Québec, J9J 3J1
Généralités et particularités de ce type de bandage
Bien qu’il en existe sous plusieurs marques et sous plusieurs couleurs différentes, ce type de taping a été inventé par un chiropraticien japonais en 1979. Ce n’est que plusieurs années plus tard que cette forme de traitement est arrivée en Amérique du Nord, puis popularisée internationalement suite aux Jeux Olympiques de 2008 et 2012. Aux Jeux Olympiques de Rio, en 2016, nous avons pu voir que la tendance se maintien !
La particularité du Kinésiotaping, comparativement à un taping «traditionnel» blanc, est que son épaisseur est similaire à celle de la peau et qu’il ne restreint pas complètement le mouvement de la région blessée. Il s’agit donc d’un support externe qui permet dans la plupart des cas, de rester actif malgré une blessure et cela pour toute la durée de son efficacité, soit environ 3 à 5 jours. De plus, plusieurs compagnies offrent un produit qui est plus résistant à l’eau, ce qui peut être un avantage selon le sport que vous pratiquez.
Pour moi l’avantage de ce type de bandage est qu’il permet de corriger temporairement un problème biomécanique et cela 24h/24h pour toute la durée où il est appliqué. Par exemple, vous avez mal au genou lorsque vous pratiquez la course à pied. En plus des thérapies manuelles et des exercices de réadaptation, l’application d’un kinésiotaping pourrait être suggérée lors de votre plan de traitement. Dans ce cas, le bandage aura pour fonction de stabiliser la rotule lors de la course, corrigeant ainsi le problème d’alignement (temporairement) jusqu’à résolution complète de votre problème par les traitements et les exercices qui vous ont été recommandés par votre chiropraticien. Vous pourrez donc continuer à pratiquer modérément vos activités préférés, ce qui est très motivant et ce qui permet de garder une bonne santé cardio-vasculaire malgré votre blessure.
Bienfaits reliés à l’application de cette thérapie complémentaire
Voici une liste des bienfaits fournis par les compagnies de Kinésiotaping. Veuillez noter que les résultats sont dépendants de la forme du taping, de la tension utilisée ou bien de l’endroit et de la direction avec laquelle il est appliqué :
Par l’étirement au niveau de la peau, il y a une stimulation des récepteurs de la peau et des muscles, ce qui diminue la sensation de douleur (nociception)
Soulève légèrement la peau, ce qui améliore la circulation sanguine et le drainage lymphatique ce qui pourrait diminuer l’enflure et optimiser la guérison
Peut être utilisé pour relaxer ou inhiber un muscle qui est trop tendu/hypertonique
Peut être utilisé pour favoriser la contraction musculaire d’un muscle inhibé/faible ou pour supporter la musculature
Peut être utilisé pour stabiliser une articulation, sans empêcher une restriction complète du mouvement
Peut améliorer la posture, la coordination musculaire et la proprioception.
Est-ce que ça fonctionne ? Y a-t’il des évidences scientifiques ?
C’est une question difficile à répondre puisqu’il manque actuellement d’évidences scientifiques. Certaines études montrent des bienfaits, d’autres un effet placebo et pour d’autres il n’y a aucun effet.
Toutefois, je crois que c’est une thérapie peu coûteuse et peu invasive qui amène parfois de très bons résultats chez les patients. Selon moi, il faut l’essayer savoir si cela peut vous aider, sinon d’autres options de traitements sont également disponibles.
Dans certains cas, il est même possible au patient d’appliquer le taping lui-même, une fois que son chiropraticien lui aura démontrer comment l’appliquer.
Quand est-ce que c’est utile, selon votre Chiro!
Personnellement, j’utilise surtout le taping dans deux situations :
Douleur aiguë, j’utilise alors le taping pour protéger et supporter la région blessée
Problème d’alignement ou de posture : j’utilise alors le taping pour améliorer la biomécanique de la région blessée
Voici une liste de conditions qui, selon moi, répondent bien au traitement par taping neuro-proprioceptif :
Entorse lombaire, whiplash, torticolis et «dos barré»
Raideurs/tensions musculaires
Tendinite de l’épaule, du coude, du tendon d’Achille, etc.
Problèmes posturaux (enroulement des épaules vers l’avant)
Douleurs aux côtes (irritation costo-vertébrale)
Entorse de la cheville ou du genou
Syndrome fémoro-patellaire (douleur sur la face antérieure du genou)
Syndrome de la bandelette ilio-tibiale
Et plusieurs autres…
Si vous désirez savoir si votre condition pourrait bénéficier de l’application du kinésiotaping, n’hésitez pas à me le demander directement lors de votre passage à la clinique ou à m’écrire par courriel au chiroallumettieres@gmail.com.
Dr David Poulin, chiropraticien D.C.
Clinique Chiropratique des Allumettières – Votre chiro dans le Plateau, secteur Hull Aylmer
470 chemin Vanier local 217, Gatineau, Québec, J9J 3J1
Saviez-vous qu’un québécois sur cinq (20 %) s’est déjà blessé au dos en déménageant ? De plus, on note en moyenne une absence au travail de l’ordre de 50 jours, ce qui en fait une activité à haut risque de blessure, surtout chez les néophytes.
Il est possible de se préparer à déménager tout en minimisant les risques de blessure, mais pour cela, il faut suivre quelques conseils de base afin d’éviter de vous blesser. Voici quelques trucs qui pourraient vous éviter bien des ennuis.
AVANT :
Faites vérifier votre colonne vertébrale ainsi que nerfs, vos muscles et vos articulations (système neuro-musculo-squelettique) par votre Docteur en chiropratique AVANT d’entreprendre une telle activité. En effet, comme le dit le dicton «Il vaut mieux prévenir que guérir».
Lorsque vous préparez vos boîtes, utilisez des petites boîtes, de même taille et assurez-vous qu’elles soient bien fermées et scellées.
Utilisez préférablement des boîtes avec des poignées et évitez de les surcharger.
Assurez-vous de demander de l’aide à un déménageur ou bien à votre famille et/ou amis.
PENDANT :
Échauffez-vous avant de commencer, ceci est bien important afin de préparer votre corps à une telle activité. Une quinzaine de minutes de marche ainsi que certains étirements devraient suffire.
N’oubliez pas qu’il est bien important de ne pas être trop pressé, de prendre des pauses régulièrement et de rester hydraté tout au long de la journée.
Lorsque vous vous penchez pour soulever une charge, pliez les genoux et non le dos et gardez un creux dans le bas de votre dos. Ensuite, utilisez vos jambes, vos bras et vos abdominaux afin de soulever la boîte.
Évitez à tout prix les torsions au niveau de votre dos, pivotez plutôt vos pieds afin d’éviter de vous faire une entorse ou bien une hernie discale.
Gardez la boîte le plus près possible de vous et n’hésitez pas à demander de l’aide pour les charges très lourdes. Évitez également de garder la boîte à un niveau plus haut que celui des épaules.
Facilitez-vous la tâche en utilisant des sangles et un diable.
N’oubliez pas qu’il est beaucoup plus facile de pousser les gros objets plutôt que les tirer.
Facilitez votre travail en dégageant les escaliers et les aires de circulation. Vous pouvez également enlever les portes qui vous gênent.
Dans un escalier, la personne la plus forte devrait être en bas afin de contrôler le rythme.
APRÈS :
Vous êtes raides le lendemain matin et vous pensez vous être blessé ? Appliquez de la glace à raison de 10-15 minutes et cela, aux deux heures. Changez de position fréquemment et reposez-vous. Ne mettez surtout pas de la chaleur, ce qui pourrait augmenter l’inflammation.
Vous avez toujours mal après 48 heures ? Il est temps de consulter votre chiropraticien afin d’évaluer le tout, d’obtenir un diagnostic précis de votre condition. Des traitements personnalisés et adaptés à votre condition pourront être prodigués afin de diminuer la douleur, d’augmenter votre mobilité et d’optimiser votre guérison. D’autres conseils et/ou exercices vous seront suggérés en fonction de votre condition. Avec votre chiropraticien, vous êtes entre bonnes mains.
Dr David Poulin, chiropraticien D.C.
Clinique Chiropratique des Allumettières – Gatineau secteur du Plateau de Hull Aylmer
-Association des chiropraticiens du Québec-Radio-canada : «http://ici.radio-canada.ca/sujet/demenagement/2013/05/29/003-demenagement-blessure-truc.shtml»
Il faut d’abord savoir que l’arthrose (ou ostéoarthrite) est la forme la plus fréquente des 100 différentes formes de maladies arthritiques regroupées sous le terme «arthrite». Elle touche plus de 3 millions de Canadiens et affecte autant les femmes que les hommes. Bien qu’elle puisse survenir à tout âge, le risque d’en être atteint augmente en vieillissant, bien que d’autres facteurs soient également en cause.
Bien des gens consultent un chiropraticien afin d’en avoir l’heure juste sur l’état de leur colonne vertébrale, dont la mobilité et l’alignement peut être affectée par l’arthrose.
L’arthrose est caractérisée par l’usure graduelle du cartilage au niveau d’une ou de plusieurs articulations, amenant ainsi un certain frottement des os les uns contre les autres. Le cartilage est une forme de tissu qui recouvre, entre autres, l’extrémité de deux os qui s’articulent ensemble. Il agit comme un amortisseur et assure la fluidité du mouvement de l’articulation. Les cellules du cartilage, qui sont très peu vascularisées, sont nourries par diffusion, c’est-à-dire qu’il est important qu’il y ait une mise en charge dans l’articulation afin que le cartilage puisse être en bonne santé. D’où l’importance de garder une belle mobilité articulaire via l’activité physique ainsi que les soins chiropratiques.
Voyons maintenant les différentes formes d’arthrite ainsi que les principaux symptômes qui y sont reliées.
Arthrose primaire et secondaire
L’arthrose primaire est la forme d’arthrose la plus commune. C’est une forme d’usure qui survient avec le temps, sans aucun incident déclencheur précis. Bien que la majorité des personnes souffrant d’arthrose ait plus de 65 ans, il existe bien d’autres facteurs de risques et peut se retrouver plus tôt durant l’âge adulte. Elle touche principalement les articulations suivantes :
Colonne cervicale (surtout le bas du cou C5-C7 car plus de stress à ces niveaux)
Colonne lombaire (surtout le bas du dos L4-S1 car plus de stress à ces niveaux)
Articulations des hanches (également appelé coxarthrose)
Articulations des genoux (également appelé gonarthrose)
Articulations des doigts et du pouce (jointures élargies et enflées)
L’arthrose secondaire est une forme d’arthrose qui peut être attribuée à une cause particulière. Par exemple, une blessure sportive, un traumatisme, des blessures de surutilisation ou d’autres maladies peuvent toutes mener à l’arthrose. Par exemple, la rupture d’un ligament ou d’un ménisque au niveau de votre genou vous met plus à risque de souffrir d’arthrose. Même chose pour un hockeyeur qui encaisse des blessures récidivantes aux épaules. Elle peut être reliés à des maladies telles que le diabète, des problèmes neurologiques, d’autres formes d’arthrite, etc.
Quels sont les principaux symptômes reliés à l’arthrose ?
Les gens qui souffrent d’arthrose vont souvent ressentir plusieurs des symptômes suivants :
Raideurs matinales au niveau des articulations atteintes (durée ≤ 30 min)
Raideurs dues à l’inactivité prolongée (s’asseoir longtemps, être couché longtemps etc.)
Douleur et/ou chaleur et/ou enflure au niveau des articulations
Sensation de crépitement (impression qu’il y a du sable dans ses articulations) ou bien des craquement répétés.
Douleur variant selon la température ou la pression atmosphérique
Des engourdissements ou une brûlure au niveau des membres (si atteinte du cou ou du bas du dos) consécutif à l’atteinte des racines nerveuses
Il faut noter toutefois que l’arthrose n’est pas caractérisée, dans la plupart des cas, par des crises inflammatoires, qui sont plus fréquentes dans les autres formes d’arthrites, telles que l’arthrite rhumatoïde. Également, notez que la douleur n’est pas directement reliée au niveau d’arthrose. Certaines personnes peuvent avoir beaucoup d’arthrose et très peu de douleur et d’autres personnes peuvent avoir peu d’arthrose et des douleurs très intenses!
Voilà, j’espère avoir démystifié certains aspects concernant l’arthrose. Dans mon prochain article, vous apprendrez quels sont les différents facteurs de risque ainsi que les divers traitements disponibles. Vous saurez ainsi comment mettre toutes les chances de votre côté afin d’éviter l’usure au niveau de vos articulations! À bientôt.
Dr David Poulin, chiropraticien D.C. – Clinique Chiropratique des Allumettières, votre chiro dans le Plateau de Gatineau, secteur Hull Aylmer.